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eye69

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2 mai 2007

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21 avril 2007

Placebo protege moi


 

17 avril 2007

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17 avril 2007

Attaches moi

Tu me regardes et me dis:

- Attaches moi, fais ce que tu veux de moi!

Je te regarde et te dis:

- Pour toi, je ferais n'importes quoi!

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17 avril 2007

Alice, l'Amant russe, moi et ma femme

Alice se souvient et écrit

Je l’ai rencontré avant-hier soir, une amie pendait sa crémaillère. Le genre de type magnétique, qui vous prend aux tripes avant même de vous prendre tout court :)

Je ne sais pas si mon désir était du à son « exotisme » ou à autre chose : je ne veux pas me mentir, avec un étranger il y a toujours une grosse part de fantasme. On a quitté la soirée à 22h à peine, direction mon appartement. Un corps incroyable, imberbe, musclé… On a fait l’amour debout contre ma porte, et je vous jure, plus jamais je ne regarderai ma porte de la même manière...

J’ai fait de mon mieux pour satisfaire son appétit - je ne suis pas sûre d’avoir réussi. C’était une nuit sans limites, vraiment, je n’avais jamais vécu ça. Une vraie force de la nature. Je me suis sentie m’ouvrir quand il a glissé à l’intérieur de moi, et hier en me réveillant, j’avais toujours cette impression d’avoir été « ouverte ». Ce n’était pas douloureux. Juste intense. Certains hommes ont le don de rester dans votre ventre même quand ils en sont sortis. D’ailleurs, j’ai envie qu’il revienne.

Mais pour lui, est-ce que je serai plus qu’une « amante française » ?

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Sergueï se souvient et écrit

J’accepte volontiers son invitation et me rend à la soirée.

Je connais, à part quelques étudiants étrangers comme moi, que peu de français. Mon nom et mon accent fait sourire, ma taille en impose et je sens tous ces regards appuyés qui me gênent quand elle entre dans la pièce. Sa peau est blanche et douce, et déjà je me glisse, m’immisce dans le doux regard d’Alice. Elle ne tourne pas autour du pot, salut l’hôte tout en la félicitant pour le nouvel appartement, et s’approche de moi. Elle ne rit pas de mon accent et je sens comme l’exotisme d’un fantasme grandir en elle. Quelques phrases pour se présenter.

Je connais très bien l’image que je provoque. Ma masse en impose et je pose ma voix, ralentit mes gestes et joue le rôle, elle aime ça et déjà j’emboîte le pas. Il est 22h quand nous quittons la soirée. La route est longue, peu de paroles et beaucoup de regards. Elle ouvre la porte et pénètre dans le hall. L’ascenseur semble fonctionner mais déjà elle se dirige vers les escaliers, marchant devant moi pour me montrer le chemin vers son appartement, et ses fines jambes elles, me montrent le chemin vers mon désir. Ce petit bout de femme aux cheveux bruns m’enivre de son parfum, je monte les escaliers et mon désir monte aussi.

Dans mon pays, une ancienne coutume marque encore nos modernes relations russes. Au retour de l’homme, la femme met en évidence dans la maison un foulard de couleur rouge, lui exprimant ainsi son désir d’être prise. L’homme réagit rapidement à ce signal et tente d’attraper la jeune femme mais celle-ci dérobe, et passe de l’autre côté de la table, jeux de regards, il la veut mais elle se refuse. Jeux de mains, l’homme soulève et pousse la table contre le mur, attrape la jeune femme et la plaque au sol. Elle se débat mais il l’embrasse, elle se débat mais il la caresse, elle se débat mais il la viole, elle se débat et prend du plaisir. De cette façon là l’homme voit son désir grandit, la femme décide du moment et s’assure d’un ébat passionné. Qu’elles sont les coutumes en France ?

La jeune femme s’arrête devant une porte et sort un jeu de clefs. Je pose ma large main sur la porte, montrant mon intention, mon autre main se pose sur son épaule. Ses clefs tombent à terre quand je descend ma main doucement vers ses fesses. Elle se retourne et lève ses yeux vers moi, que j’aime la France! Elle attend que je l’embrasse, je parcours les quelques centimètres qui nous séparent, glisse ma langue entre ses délicates lèvres et la soulève.

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Photos Alice

Je suis pressé et n’ais pas envie d’attendre l’ascenseur, je descends les escaliers deux marches à la fois quand je les aperçois, puis les observe. Une voisine de mon immeuble enlacée dans les bras d’un homme, et quel homme ! Elle ouvre sa chemise et découvre ainsi un torse incroyable, imberbe et musclé. Je les regarde jaloux mais excité. Il semble si fort et la soulève, l’embrassant plaquée contre le mur. Ils ont fait l’amour debout contre la porte, et je vous jure, plus jamais je ne regarderai cette porte de la même manière...

Je me ravise et remonte. Ma femme lit un livre vêtue d’un ensemble noir serti de fleurs roses.

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Photo Alice

- Tu crois pas qu’après 4 ans de vie de couple, on devrait mettre un peu de piquant dans nos rapports ?

- Pourquoi pas me répond-elle sans surprise. Elle se tourne vers moi avec un sourire que j’avais oublié. Tu as des idées ?

- Oui, j’en ais une… 

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16 avril 2007

Ou es-tu?

                

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16 avril 2007

L’Ex, Lui et Moi

Elle, c’est ma première fois sur pellicule.

Moi, c’est un serveur qui tourne de plus en plus en rond.

Nous, c’est un message sur répondeur m’invitant à me mettre au vert le temps d’un week-end.

Besoin de sortir de ce mois d’août qui étouffe les rues de ma ville. Je téléphone. J’accepte. Je prends le train. Elle m’attend déjà adossée au capot de la voiture.

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On roule vers la maison de campagne de ses parents et j’en remets une couche sur mon besoin de décompression.. La campagne est le meilleur remède me dit-elle avant de se ranger sur le bas côté. Evitant quelconque préliminaire buccal, elle défait ma ceinture, fait sauter deux-trois boutons puis penche la tête, me lèche, me suce, m’avale. Je l’attrape par les cheveux et serre fort, je crois me rappeler qu’elle aime ça. Je la quitte des yeux et balaye le paysage, c’est vrai quand cette position, la campagne c’est plutôt charmant. Des voitures passent près de nous sur nôtre gauche, la voix est rapide et je doute qu’ils voient quelque chose, à nôtre droite un champs des plus banal avec une vache qui broute de l’herbe. Celle-ci lève la tête et me regarde. Putain je jurerais que cette vache m’a fait un clin d’œil ! Putain cette vache je m’en souviens ! Cette putain de vache a transformé ce petit moment de plaisir en un enfer de sensation, mêlant le plaisir délicat de cette bouche sur ma verge à la vision DE CETTE PUTAIN DE VACHE, en assimilant un plaisir charnel à la vision DE CETTE PUTAIN DE VACHE !

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Je jouis. Elle avale et me demande si je me sens mieux… Je lui mens et elle passe la première.

On arrive et déjà le chien gueule dans le jardin. Un mec allongé sur un transat fume tranquillement un joint et subitement je déchante. Sans être mienne, je le pensais tout à moi le temps d’un week-end. Il est plus jeune que moi, plus timide, alors je roule des mécaniques et elle n’aime pas ça. Elle se colle à lui et une jalousie étrange et malsaine m’envahie.

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On passe la journée à boire, à fumer, et le soir venu c’est moi qui la prend.

Dimanche pépère. La jeune femme bronze nue, lui et moi fumons des pétard. Bon prince, je consens même à lui laisser partager le lit de la jeune femme pour la dernière nuit, timide, il baisse les yeux.

Le soir venu elle m’indique la chambre d’ami. Elle dormira avec lui et mon sang ne fait qu’un tour. Pendant une heure je me tourne et me retourne dans mon lit, les imaginant moqueurs, prendre un plaisir que je ne partage pas. Je me décide alors, fou de rage, à interrompre leurs ébats et pénètre dans la chambre afin de les surprendre.

Rien. Strictement rien. Il ne se passe rien. Tous deux, encore habillés, dorment au-dessus de la couette. Sans rien comprendre, je m’allonge à côté d’elle, la pousse sans aucune considération, et m’allume une cigarette.

Je suis là, pensant que je ne suis qu’un crétin emporté par mes émotions incapable de réflexion. Elle fait mine de se réveiller et me regarde.

- J’ai envie me dit-elle.

De sexe, de moi ? Je me contiens et finis ma clope. Je m’approche et l’embrasse, glissant une main sous sa hanche et agrippant le rond de ses fesses de l’autre, la forçant à se coller à moi. Elle passe une jambe au-dessus des miennes.

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Le désir physique que j’éprouve pour elle n’est ici pas un acte d’amour, mais bien de colère. J’attrape son opulente et laiteuse poitrine et dégage ce jean qui m’exaspère. Impossible que nôtre voisin n’est pas été réveillé par tout ce manège, et le rythme retombe. Je l’embrasse et la tourne vers lui, je me colle dans le dos de la jeune femme, un bras sous elle la main sur son sein gauche, l’autre main, abondamment humidifié par ma salive, se glisse sans détour dans le creux de son vagin. Je la cambre, la poussant vers lui sans aucune ambiguïté. Elle ne me surprend guère et s’exécute. Il fait mine de se réveiller, se tourne vers elle et lui rend son baiser. Ne voulant pas attendre mon tour, je baisse mon pantalon, enfile une capote et la pénètre. Je ne pense pas à son plaisir et ne cherche pas à contrôler le mien, et tandis que je jouis, mon voisin lui lèche un sein, et lui malaxe l’autre.

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Je prends une pause et me sors encore une clope. (Décidément je fumes beaucoup trop) Elle est maintenant sur lui et s’agite comme une diablesse. Mon désir est retombé et je les observe calmement, me disant qu’avec une fille de ce genre, mon jeune collègue aurait mieux fait d’enfiler avant elle, un petit bout de plastique. Bref j’écrase la clope et demande à la jeune femme de se mettre à quatre pattes en travers du lit. Elle se place et mon voisin, cette fois à genoux derrière elle, reprend son va et vient.

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Elle réveille délicatement mon sexe endormi avec sa langue. Quand mon voisin eut fini, elle me donna tout naturellement ses fesses, et je me pressa d’y glisser, bien profondément dans son vagin, des coups successifs. Pour agrémenter le tout, bien en confiance, je lécha mon pouce que je posa délicatement sur son anus, et celui-ci, sans réagir, consentit tacitement à être pénétré.

Au moment de jouir je croisa le regard excité et abruti de mon voisin, décidément, il y a avait quelque chose dans ce week-end qui ne voulait me laisser jouir tranquille !

16 avril 2007

Tic Tac

Tic Tac, l'heure tourne et mine de rien les années défilent de plus en plus vite. A bientot trente ans je n'ai toujours pas trouvé celle qui serait à la fois mon épouse fidèle et mon amante passionnée...

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16 avril 2007

L’Espagne, Elles et moi

4 ans de vie ce couple, une rupture difficile et qu’une envie : partir loin. Italie ou Espagne, le hasard choisira pour moi ; et je me retrouve Barman dans un bar de Barcelone fréquenté par tous les étrangers de la ville. Je ne parle pas un mot d’espagnol mais je me lance et réponds à l’annonce. L’appartement est minuscule, à partager avec un belge et un italien, et les règles de vie sont non négociables. Pas d’autres choix que d’accepter.

Temple

Première semaine.

Je sympathise avec François/Belge/24ans mais on s’en fout, mon intérêt, comme pour tous les clients du bar, se porte sur sa sœur Juliette/19ans/Visage d’ange au corps provocateur. Je ne trouve rien d’autre pour la décrire que parfait mélange entre douceur et naïveté d’adolescente et provocante et sensuelle comme une femme d’age mur. Moi, immobile et bouche béante, laisse passer juste sous mes yeux Diego, collègue italien et beau gosse confirmé, qui se fait gentiment et publiquement rembarré.

François est plutôt cool et je lui propose de bouger dans un autre bar près de la plage dès la fin de mon taf, sa sœur nous rejoint. Ma froide timidité l’intrigue et on finit la soirée sur la plage. Le décors pousse au romantisme et je tente ma chance à coup de réflexions romantiques sur les rapports sentimentaux homme/femme quand elle m’arrête sèchement, m’allonge dos sur le sable et m’enfourche.

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Elle me reproche d’avoir été le seul mec du bar à ne pas avoir tenté ma chance avec elle, apparemment c’est ça qui l’a excité puisqu’elle caresse chaque parcelle de mon coup avec sa petite langue rose. Elle défait assez violemment ma chemise et s’énerve sur mon panta-court. Je veux, instinctivement, me défendre, puis me ravise. Qu’elle fasse comme bon lui semble. Elle se relève et s’attache les cheveux, balançant son bassin sur mon sexe encore prisonnier.

Sous ses airs de petite fille sage se cache une vraie petite cochonne, je ne juge pas et excité, j’en profite mais voilà qu’elle s’éloigne déjà de moi et tire mon caleçon. L’objet ainsi découvert semble lui convenir, et elle l’attrape, le serre fortement, l’embrasse goulûment pour ce qui fut la meilleure pipe de ma vie !

Sans obligation, je l’invite à se positionner pour que je fasses de même, mais elle refuse et étrangement, suis frustré. Elle se lève. Elle me regarde. Elle se déshabille entièrement, découvrant une poitrine discrète et un cul… Un cul… Un cul qui me fige sur place, petit, rond, ferme… Je me tend pour l’attraper que déjà il se dérobe. Je la regarde courir nue sur le sable. A peine l’ais-je rejoint dans l’eau qu’elle saute dans mes bras, glisse sa petite langue dans ma bouche, et me quitte. Elle joue avec moi. Et son jeu fonctionne. Dans cet état, je l’aurai suivit des kilomètres. Je me sens stupide, une seconde seulement, tout mon sang gonfle mon sexe et le cerveau, moins irrigué, n’est plus aux commandes.

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Photo LilouX

Je m’approche de la jeune femme et me demande, le regard scotché à ses hanches, si elle a vraiment l’âge qu’elle prétend. Je l’agrippe fortement de ne peur qu’elle m’échappe, mais elle ne combat pas, m’offrant volontiers ses fesses. Putain quel cul ! Elle se penche en avant et pose ses mains sur le mur d’une cabane, cambrée au maximum mon sang s’échauffe. Je la pénètre. Tellement submergé de désir, je me fais douleur pour la prendre le plus lentement possible, ne pas exploser, pas encore… mais le plaisir m’emporte, elle est tellement fine que je pourrai la lever à chaque pénétration, et je perds l’équilibre l’entraînant au sol. Même allongé, je m’accroche à elle et n’arrête pas les mouvements de mon bassin. Mais elle se retire et me fait face, m’agrippe et m’enfonce au plus profond de sa gorges. Je la prévient une seconde avant mais elle me surprend et se retire, moi gêné, elle satisfaite, j’arrose généreusement sa poitrine.

On s’est revu sur cette plage tous les soirs de la semaine, mais la veille de son départ, je fus seul à regarder les étoiles.

Nuit

J’ai vécut d’autres aventures cet été là, mais celle-ci est la seule que j’avais envie d’écrire.

Bonne nuit,

Michael.

16 avril 2007

Elle seule et moi seul 1

Je suis allongé sur le lit, vêtu d’un caleçon je regarde la télé. Elle sort de la salle de bain vêtue d’une serviette, passe entre moi et la télé, et déjà mon attention dévie. Elle s’effeuille et s’allonge nue à quelques centimètres de moi. Elle se met sur le coté m’offrant le nu de son dos. J’observe minutieusement chaque parcelle de sa peau, elle est à ce moment là, la plus belle fille qui m’est donné de regarder, j’en suis conscient et en profite. Elle se retourne et me fait face, soutient mon regard et esquisse même un sourire. Elle est d’humeur.

- A quoi tu penses ?

- Que tu es la plus belle femme que j’ai rencontré…

- Ha bon… me dit-elle en souriant et sortant son regard spécial intense provoc.

- J’aime te regarder..

Et déjà elle s’étire m’offrant le galbe de sa poitrine, dévoilant légèrement l’intérieur de ses cuisses. Mon plaisir est différent, je n’ai pas envie de lui sauter dessus, pas encore envie de franchir les quelques centimètres qui nous séparent.

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Elle m’observe et semble attendre quelque chose de moi, alors je me lance.

- Je veux que tu fermes les yeux et que tu ne les ouvre sous aucun prétexte. J’ai envie que tu te caresses. Je veux que tu saches que je te regarde, que je vois tout.

Elle sourit et déjà le bout de sa langue humidifie ses fines lèvres roses. Elle ferme les yeux.

La main droite effleure sa bouche, l’autre frôle la poitrine et descend vers son bas ventre, évite le creux du nombril et se colle sur l’intérieur de sa cuisse gauche. Je la regarde et elle éveille peu à peu son corps au plaisir. Moi je serais aller directement droit au but, elle, prend plaisir à tourner autours du pot. Sa main quitte l’intérieur du coup et glisse jusqu’à ses seins gonflés qu’elle contourne maintes fois. Elle m’offre là un moment d’intense intimité, et j’apprécie. Je mate.

Elle frotte l’intérieur de ses cuisses des deux mains, se cambre et déjà son souffle s’accélère. Une main remonte vers la poitrine et l’autre, sans plus d’hésitation se glisse sur son sexe que j’imagine facilement chaud et humide. Je comprends qu’elle glisse lentement et profondément un doigt à l’intérieur de son bas ventre. Je suis au premier rang d’un film qui me semble bien plus excitant que n’importe quel film porno. Je ne suis pas seulement spectateur, mon proche regard lui offre bien d’avantage de plaisir, je suis conscient du cadeau qu’elle m’offre et je l’aime tendrement.

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Elle serre son sein gauche tandis qu’elle glisse un second doigt dans son vagin, serrant et desserrant ses cuisses. Je suis proche d’elle, tellement qu’elle doit sentir mon souffle chaud qui se saccade. Dois je me toucher ? Je continue de regarder sans rien faire.

Vite, bien trop vite à mon goût, elle jouit. Son corps se cambre un maximum et se détend, son souffle ne trahit pas. Elle respire, elle attend, elle se retourne vers moi, et doucement, ouvre les yeux. Elle sourit, je ne trahis pas une seule seconde l’intensité de mon regard et attrape sa main, je lèche délicatement le doigt coupable du délit et lui souffle à l’intérieur de la main. Telle une ado, elle sourit et se retourne m’offrant ses fesses. Je saisis mon sexe en érection et le glisse directement en elle.

 

ELLE

 J’allume une cigarette et elle me demande si on peut échanger les rôles.

- La prochaine fois.

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