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16 avril 2007

Ma femme, Julie et moi

Elle me parle de son anniversaire et je me mets à rêver la scène :

Elle arrive tout juste du boulot et ne sachant pas la qualité de sa journée je me jette sur elle, lui enlève veste et mallette. Je la tire dans la salle de bain où elle y découvre un bain chaud et parfumé, trois bougies, un verre de vin blanc et un pétard dans le cendrier. Elle me remercie et déjà tout son corps se détend. Elle m’invite je refuse. Plaisir pour elle unique ment et quand elle veut sortir elle m’appelle, j’ai encore une petite surprise.

Elle profite. Dans la chambre je finis les préparatifs, m’allonge sur le lit et m’allume un joint tout en jouant avec mon portable.

Elle m’appelle. J’arrive avec une serviette et l’y enroule. Tu es d’humeur joueuse ? Elle sourit et je lui montre le bandeau. J’espère te surprendre et te faire plaisir. Elle me tient un sourire provocateur et pour elle la lumière s’éteint.

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Je l’emmènes avec moi et la place au centre du lit. Je m’assois sur le fauteuil de deux mètres éloignés. J’allume un autre joint. Elle écoute ma respiration, la musique qui redémarre, l’encens qui parfume et attend. Je la regarde sans rien faire. Long silence. Elle se demande ce que j’attend et je sais maintenant qu’elle est prête à être surprise.

La porte laissé entrouverte découvre Julie. Celle-ci s’approche de moi et tourne les yeux vers l’objet de la soirée, elle l’a découvre pour la première fois. Elle semble ravie et il y a de quoi, ma femme est une putain de gravure de mode, brune, mince avec des formes parfaites. Elle se met sur le lit à quelques centimètres de ma femme et c’est à ce moment là que je décide de briser le silence.

- Tu ne vois rien mais moi je vois tout ! A aucun moment tu ne devra écarter le bandeau de tes yeux, si tu le fais j’arrête tout. Est-ce que tu as compris ?

- Oui me soupire-t-elle.

- Je ne vais rien faire pour l’instant. Juste te regarder. Il y a une femme près de toi. (Elle tressaille mais ne touche pas au bandeau, je sais que j’ai gagné) Tu ne sais pas qui elle est et tu ne le saura jamais. Elle est belle, sa peau a l’air magnifique et ses formes sont généreuses. Je ne l’ai pas choisit selon mes critères, mais les tiens. (Elle renifle sont parfum. Julie est plus jeune, bourgeoise mais sacrément bandante, je dois d’ailleurs me retenir un max de ne pas lui sauter dessus. Julie s’approche de ma femme et l’embrasse timidement, ce jeu dure plusieurs minutes mais je ne veux rien brusquer. Quand elle ouvre pleinement sa bouche pour dégager la chaleur de sa langue, je me décide à interrompre) Elle ne bougera pas alors tu dois la déshabiller. ( Elle s’exécute sans faire prier une seconde de plus. La déshabillant délicatement elle en profite pour découvrir son corps délicat et généreux de caresses légères. Voulant garder ses sous vêtements Julie l’arrête et la penche délicatement en arrière, allongée sur le dos ma femme ne bouge pas. Julie me regarde, puis la regardant elle défait la serviette et découvre le corps magnifique de ma femme. Elle la caresse entièrement d’un frottement léger de la main. Tant de douceur et de délicatesse me surprend, contraste avec la violence et la brutalité de nos ébats. Julie laisse respirer sa poitrine haute et bombée. Elle a dix ans de moi que ma femme. Je l’ai rencontré en boite un soir où je sortais avec mes amis. C’est elle qui ait venu vers moi mais je l’ai vite calmé : le détournement de mineurs ne m’intéresse pas plus que ça, ma perversion est ailleurs)

                                                           Julie_

- J’ait eut dix-huit il y a deux jours m’affirme-t-elle en me montrant sa carte d’identité.

- Tu es plutôt bandante, c’est vrai lui dis-je tout effleurant du regard son chemisier entrouvert. Mais je suis maqué et amoureux. Et puis c’est pas toi qui va m’apprendre quelque chose au pieu !

- Alors apprends moi. (Elle me roule une pelle qu’il est vrai, je n’ai pas refusé. J’ai pris son numéro sans savoir ce que j’en ferai, jusqu’à il y a une semaine où je lui ai parlé de mon idée de cadeau. Elle est seins nus, se rapproche de ma femme et se colle à elle, poitrine contre poitrine. Ma femme ne le sait pas mais c’est seulement la troisième fois pour Julie qu’elle est au lit avec quelqu’un d’autre. Mon joint se termine et je m’aperçois que ma main gauche appuyait machinalement l’entrejambe de mon jean. Sa bouche réchauffe son coup puis sa poitrine, elle effleure la peau puis les tétons de ma femme, Julie n’a jamais vécu ça auparavant, elle agit comme elle aurait voulu que l’on agisse avec elle… Ca fonctionne et finalement je commence à me dire que j’ai à apprendre de cette gamine. Je suis un mec, il y a des choses qui ne sont pas innées, je note dans un coin de mon esprit quelques réflexions quand sa langue atteint les cuisses. J’enlève le tee-shirt et le jean, et laisse respirer le bout de mon sexe. Toutes deux se retournent vers moi, l’une me voit et l’autre imagine. Dire que j’avais hésiter avec une bague !

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Julie met sa tête entre les cuisses et je mets ma main entre les miennes. Julie caresse, malaxe, pince et griffe les deux cuisses offertes. D’un doigt, puis de deux elle s’arme à faire jouir celle qui d’habitude n’est que mienne. Elle arrive rapidement, presque trop à mon goût, à un silencieux mais long orgasme. Je ne reconnais vraiment pas cette femme près de Julie… Jambes fléchis, bras retombés, elle cherche un souffle régulier. Julie me surprend et se lève, recouvre les deux mètres qui me séparait d’elles et pose ses genoux à terre. Elle saisit mon sexe et glisse la langue à sa base, remonte doucement jusqu’au gland, avale profondément celui-ci le nettoyant du même coup du sperme présent. A peine trois mouvement de tête et elle se retire, ma femme déjà m’invite à la rejoindre. Elle se tourne, se positionne à quatre pattes, le visage enfouit dans le coussin et les fesses en l’air.

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Je m’approche, saisit le creux des ses hanches et la pénètre totalement dès le premier mouvement. Malgré ce que j’ai vu jusqu’à maintenant je la prend sauvagement. C’est ce qu’elle souhaite je le sais et déjà elle crie. Je jouis rapidement mais si excité que je suis je continue ; Julie se rhabille très lentement, comme si elle n’assumait pas son envie de rester et de regarder. Ma femme jouie et je sens son vagin qui se serre, mon plaisir s’accélère et explose deux secondes plus tard.)

On s’affale sur le lit. Je transpire, elle rit. Elle écarte le bandeau et balaye la pièce du regard.

- Mais où est-elle ?

- Qui ?

- L’autre fille !

- Tu fantasmes chérie ! Tu veux fumer un joint ? 

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